Le 26 septembre 2014, fête de la gastronomie, je suis allé à l’ESAT de Trappes (établissement et service d’aide par le travail des personnes handicapées) encourager les 45 cuisiniers et serveurs handicapés qui œuvrent chaque jour au restaurant le « Douze heures ». Preuve que le handicap au travail, n’est pas incompatible avec la réussite économique.
Ce fut un beau moment moment pour moi de pouvoir mêler deux de mes grands combats : le handicap et la gastronomie, qui se révèlent en plus aller très bien ensemble.